L'expression canardesque du jour
« Ca ne casse pas 3 pattes à un canard ! »
Cette expression désormais bien ancrée dans notre vocabulaire désigne quelchechose de moyen ou passable.
Mais quelle est l’origine de cette expression canardesque ?
La 1ère hypothèse serait que c’est l’évolution telle que Darwin la décrit qui aurait vu une troisième patte du canard disparaître au fil des temps.
Ainsi les ancêtres de nos palmipèdes actuels étaient pourvus d’une 3ème patte.
Mais à quoi pouvait’elle leur servir ?
Pourquoi des mutations successives l’ont vu disparaître ?
Une 2ème hypothèse serait que notre chèr volatile serait doté d’un généreux organe reproducteur au bout palmé qui pour un œil non averti pourrait ressembler à une 3ème patte.
Cependant aucune étude zoologique ne vient conforter cette spéculation scientifique.
La dernière hypothèse se baserait sur une patrique rituelle et ancestrale de moines mandarins au XIIème siècle qui consistait à briser successivement 3 pattes de canard séchées. Ce rituel accompagnait le passage de l’enfance à l’âge adulte ches les jeunes mandarins et ce n’’était qu’à compter de ce moment que le Duck Fu (pratique martiale oubliée de nos temps basée sur les mouvements du canard) pouvait leur être enseigné.
Pour terminer ma thèse, je citerais un certain Tchouang-Tseu :
« Les pattes du canard sont courtes, il est vrai
mais les allonger ne lui apporterait rien. »
Certes, le point de vue de cet illustre inconnu ne nous aide pas trop sur la question mais la remarque me semblait judicieuse malgré tout !
Cette expression désormais bien ancrée dans notre vocabulaire désigne quelchechose de moyen ou passable.
Mais quelle est l’origine de cette expression canardesque ?
La 1ère hypothèse serait que c’est l’évolution telle que Darwin la décrit qui aurait vu une troisième patte du canard disparaître au fil des temps.
Ainsi les ancêtres de nos palmipèdes actuels étaient pourvus d’une 3ème patte.
Mais à quoi pouvait’elle leur servir ?
Pourquoi des mutations successives l’ont vu disparaître ?
Une 2ème hypothèse serait que notre chèr volatile serait doté d’un généreux organe reproducteur au bout palmé qui pour un œil non averti pourrait ressembler à une 3ème patte.
Cependant aucune étude zoologique ne vient conforter cette spéculation scientifique.
La dernière hypothèse se baserait sur une patrique rituelle et ancestrale de moines mandarins au XIIème siècle qui consistait à briser successivement 3 pattes de canard séchées. Ce rituel accompagnait le passage de l’enfance à l’âge adulte ches les jeunes mandarins et ce n’’était qu’à compter de ce moment que le Duck Fu (pratique martiale oubliée de nos temps basée sur les mouvements du canard) pouvait leur être enseigné.
Pour terminer ma thèse, je citerais un certain Tchouang-Tseu :
« Les pattes du canard sont courtes, il est vrai
mais les allonger ne lui apporterait rien. »
Certes, le point de vue de cet illustre inconnu ne nous aide pas trop sur la question mais la remarque me semblait judicieuse malgré tout !